Représentation des ateliers théâtre 2018
Les élèves des cours de Cécile PAPILLON, proposent quatre représentations au cours de ce mois de juin.
« Villa Esseling Monde » de Philippe DORIN,
joué le samedi 16 juin à 17h et le dimanche 17 juin à 15h par le groupe des 7-9 ans.
Un enfant demande à ses parents l’autorisation de récupérer sa balle et d’aller jouer dehors,
« pourvu que tu n’entres pas dans la villa Esseling Monde », dit son père.
Évidemment la balle roule vers l’endroit interdit et entraine l’enfant dans un monde digne de Lewis Carrol, alors que les parents, en des tableaux réguliers, sont présentés rivés à leur poste de télévision, peu inquiets malgré le temps qui passe.
« Pinocchio » de Joël POMMERAT,
joué le samedi 16 juin à 19h et le dimanche 17 juin à 17h par le groupe des 10-12 ans.
Lorsque l’arbre au bois étonnant tombe sous l’orage, l’homme pauvre et généreux
décide d’en faire un pantin. Pinocchio est né. Mais c’est un enfant naïf et cruel, qui
rêve d’une vie de prince. Joël POMMERAT revisite ce conte populaire en soulevant
les questions de la paternité, de la pauvreté, de la liberté.
« Théâtre sans animaux » de Jean-Michel RIBES,
joué le vendredi 22 juin à 19h et le samedi 23 juin à 19h par le groupe des ados.
De courtes fables, portraits, gribouillis, réunis dans ce Théâtre sans animaux, sont une contribution à l’art du sursaut et un hommage à tous ceux qui luttent contre l’enfermement morose de la mesure.
Théâtre sans animaux enchaîne six contes traversés par des tempêtes de cocasserie.
Quatre comédiennes prennent les chemins de traverse de l’absurde, hors de toute réalité.
Un stylo à bille de trois mètres cinquante atterrit à l’aube dans le salon. Lors d’une visite au musée, un groupe se mobilise autour d’une question cruciale, pourquoi ne peint-on plus de carpes ? Comment arrêter de fumer quand on ne porte pas de perruque Louis XV ?
Et les situations dérapent, et la parole se réinvente en rebonds. Les gens raisonnables s’envolent, se détournent de la rigidité du langage, et visitent le pays réjouissant du non-sens.
« Un temps de chien » de Brigitte BUC,
joué le vendredi 22 juin à 21h et le samedi 23 juin à 21h par le groupe des adultes.
Gabrielle abuse du Lexomil, avalé à grandes lampées d’Armagnac et enchaîne les amours catastrophiques avec de beaux mufles qui la laissent sur le carreau. Loulou se fout des autres, et n’aime que son fils. Quant à Hélène, elle est au bord de l’implosion et tente désespérément de donner le change par un optimisme forcené.
Ces trois femmes, qui se sont de prime abord regardées en chien de faïence, vont finalement se donner un sacré coup de main pour traverser une période délicate de leur vie, sous l’oeil narquois d’un garçon de café en pleine crise de misogynie aigüe.
Ce qui s’annonçait comme une journée pourrie à tous points de vue, deviendra un des moments les plus joyeux de leur existence.
En pratique :
3 € / personne pour chaque représentation.
Billets à retirer à la Maison de Quartier.